Une première ascension historique vient d’écrire une nouvelle page dans l’histoire de l’alpinisme moderne: Benjamin Védrines et Nicolas Jean ont atteint le sommet du Jannu Est (7 468 m) dans l’Himalaya népalais, réalisant la première montée par la face nord en style alpin. L’expédition s’est organisée autour d’une acclimatation méticuleuse sur Anidesh Chuli (6 808 m), puis d’un effort d’escalade sur quatre jours sans oxygène artificiel, sans fixed ropes et sans aide Sherpa. L’objectif affiché ne reposait pas sur la vitesse, mais sur la maîtrise du terrain: une progression fluide, une gestion précise de l’altitude et une énergie conservée pour le dernier mur. Ce récit s’inscrit dans la continuité des aventures récentes du duo, après un passage par des montagnes isolées et exigeantes, et démontre une convergence entre méthode, patience et audace.
En liaison avec l’écho médiatique, le succès du Jannu Est a suscité de multiples réactions dans les médias spécialisés et généralistes à l’échelle internationale. Des comptes rendus détaillent la démarche, les choix logistiques et les enjeux du style alpin dans une région réputée capricieuse. Pour ceux qui suivent l’actualité de l’outdoor et de l’expédition, cette performance résonne comme un fil rouge entre ascension sportive et exploration protecting environment. Plus largement, les publications consacrées à l’alpinisme, à l’escalade et à la montagne saluent l’exploit et s’interrogent sur les enseignements tirés pour les futures expéditions dans l’Himalaya. Accéder à la couverture complète permet de suivre les différentes analyses et réactions autour de cet exploit.
Le rédacteur pilote ce récit avec un regard dynamique, en privilégiant le rythme de l’action, les détails techniques et les émotions d’équipe. L’approche met aussi en lumière les choix stratégiques qui ont permis de maîtriser une fenêtre météo favorable et de limiter les risques lors d’un passage aussi exigeant que le Jannu Est. Cette narration met en exergue l’importance du matériel de montagne adapté, de la préparation physique et mentale, et de l’esprit d’expédition — des éléments constitutifs d’un succès qui s’inscrit durablement dans une histoire d’aventure et d’exploration.
En bref
- Altitude visée et parcours: Jannu Est, 7 468 m, ascension par la face nord (2 300 m) puis l’éperon est. 🏔️
- Style d’ascension: alpinisme complet, sans oxygène, sans fixations ni soutien Sherpa, en progression légère mais précise. 🧗♂️
- Acclimatation préalable: passage par Anidesh Chuli (6 808 m) afin de préparer l’adaptation à la haute altitude. 🧭
- Durée et plan: quatre jours d’ascension, avec une stratégie consistant à dormir au pied de la face pour optimiser l’énergie. ⏱️
- Réactions médiatiques et continuité: multitude de retours sur l’initiative dans les médias alpins et outdoor. 📡
Tableau rapide des chiffres clés
| Élément | Détail | Temps |
|---|---|---|
| Sommet | Jannu Est, 7 468 m | 2025 |
| Face escaladée | Face nord, 2 300 m | 4 jours |
| Mode d’ascension | Alpinisme, sans oxygène | N/A |

La couverture de l’exploit s’est organisée autour de vues aériennes et de témoignages des équipes techniques, avec une attention particulière portée à l’éthique et à la sécurité en haute montagne.

Les détails de l’ascension et le chemin tracé
Le parcours s’est déroulé après une acclimatation dédiée sur Anidesh Chuli, afin d’établir une base solide pour l’effort sur le Jannu Est. La stratégie retenue consistait à grimper rapidement la face nord, briser le mur en progression technique, puis rallier l’éperon est jusqu’au sommet. L’approche s’est distinguée par le choix de dormir au pied de la face, ce qui a permis d’économiser l’énergie nécessaire pour évoluer dans les sections finales particulièrement sensibles, notamment autour des 7 000 mètres.
- ⚠️ Acclimatation et préparation: arrivée sur Anidesh Chuli pour atteindre les premiers chiffres d’altitude et éprouver le corps à l’air rare.
- 🧗 Parcours nord: montée du mur nord d’environ 2 300 mètres, étape majeure et technique.
- 🏔️ Arête est: progression jusqu’au sommet par l’éperon est après la traversée du mur nord.
- 🫗 Gestion du matériel: montée sans oxygène, sans fixations et sans assistance logistique lourde.
- 🗺️ Timing et météo: fenêtre favorable persistant sur les quatre jours d’ascension.
Succès de la première ascension : Benjamin Vedrines et Nicolas Jean atteignent le sommet de Jannu Est
Acclimatation et repérages présomptifs effectués afin de préparer les conditions d’ascension. Coordination de l’équipe et vérifications logistiques initiales.
- Équipes réunies et matériel vérifié
- Orientation des itinéraires préliminaires
Affinage des itinéraires, chartes de sécurité et organisations des points de ravitaillement.
- Planification des camps
- Routage des cordes et matériel technique
Première avancée vers le flanc Est, vérification des conditions météorologiques et installation des premiers relais.
- Établissement du camp avançé
- Tests d’itinéraire et adaptation des stratégies
Progression sur le mur nord, prise de relais technique et gestion du rythme d’ascension.
- Gestion des conditions de glace
- Placement des points d’ancrage
Ascension le long de l’arête est avec des sections techniques et une concentration accrue sur l’équilibre et le timing.
- Gestion du risque et sécurité renforcée
- Last checks et consolidation des placements
Atteinte du sommet par Benjamin Vedrines et Nicolas Jean. Bilan de l’expédition et retour prévu.
- Récompenses et conclusions
- Conditions météorologiques et enseignements
La presse et les passionnés n’ont pas tardé à suivre le sujet, avec des articles riches et variés qui analysent les choix techniques, la logistique et les réactions autour de l’exploit.

À l’heure du bilan, l’expédition se lit comme une synthèse entre discipline, patience et audace. Le duo a su transformer une ambition longtemps rêvée en réalité tangible, tout en respectant scrupuleusement les règles du jeu alpin et en restant fidèle à une approche d’exploration respectueuse du terrain et des conditions. Cette réussite résonne comme une invitation à repenser les limites et les méthodes, sans compromis sur la sécurité et la durabilité de l’expérience en montagne.
Tableau récapitulatif des étapes clés
| Élément | Détail | Observations |
|---|---|---|
| Acclimatation | Anidesh Chuli (6 808 m) | Base physique et mentalité d’expédition renforcées |
| Nord de la face | 2 300 m | Section technique majeure, progression en itinéraire propre |
| Arête est | Sommet | Conclusion par une montée soutenue et maîtrisée |
| Style | Alpinisme, sans oxygène | Respect des principes traditionnels de l’alpinisme |
Pour enrichir l’expérience visuelle, une autre vidéo présente les moments forts et les réflexions des deux alpinistes sur l’aboutissement du projet. 🧭
Réflexions et contexte d’expédition
Le récit de cet exploit met en évidence les étapes critiques qui font la différence entre une tentative et une réussite durable: une acclimatation collective bien pensée, une approche lente et régulière face à la montagne, et un esprit d’équipe solide capable de maintenir la motivation lorsque les conditions affichent une réticence à céder. Les aspects matériels et techniques — équipement de montagne, choix de l’itinéraire, gestion des ressources et préparation logistique — ressortent comme des facteurs déterminants dans ce succès, qui s’inscrit dans une continuité temporelle et humaine. Le Jannu Est demeure une épreuve redoutable et, désormais, une référence pour les prochaines ascensions dans l’Himalaya.
FAQ
Comment s’est organisée l’acclimatation avant le Jannu Est ?
L’équipe a effectué une acclimatation ciblée sur Anidesh Chuli (6 808 m), afin d’optimiser l’adaptation à la haute altitude et de préserver l’énergie pour la suite de l’expédition.
Quel était le principal défi technique sur la face nord ?
Le mur nord de 2 300 mètres présente un terrain particulièrement exigeant, avec des sections verticales et des pentes soutenues nécessitant une grande précision et une progression adaptée au style alpin.
Pourquoi dormir au pied de la face a-t-il fait la différence ?
Cette stratégie a permis de minimiser l’effort de remontée depuis le bas et d’économiser l’énergie pour les portions critiques ultérieures, tout en réduisant l’exposition au froid et au manque d’oxygène.
Quel est l’impact de ce succès sur la scène alpine actuelle ?
Cette première ouvre de nouvelles perspectives sur la faisabilité et les conditions optimales d’une première ascension en style alpin du Jannu Est, tout en enrichissant le récit collectif autour de l’exploration et de l’expédition, et en inspirant les futures générations d’alpinistes.




